Orthodoxy


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        Find a quiet place to think, pray, and enjoy nature. God created this world for our enjoyment and pleasure. Fr. John
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        Intuition.Saint Sophrony l'Athonite.
         Icône de Saint Sophrony.
              Malgré une conscience aiguë de mon extrême insignifiance - ou peut-être justement en raison de ce tourment intérieur -, j'ai prié pendant des dizaines d'années pour que le Seigneur me donne, à moi aussi, l'inspiration de le suivre« partout où Il va » (Ap 14,4). Partout, que ce soit au désert pour mettre à l'épreuve la fidélité de mon amour pour le Père (voir Le 4, Is), sur la voie de la prédication du Royaume de l'amour paternel sans reculer devant les innom­brables avanies qui l'accompagnent, sur le mont Thabor où les trois élus entendirent la voix du Père: « Celui-ci est mon Fils bien-aimé» (Mt 17, 5), ou encore - avant tout - au jardin de Gethsémani ct au Golgotha. Par «inspiration», j'entends la puissance du Saint-Esprit agissant au-dedans de nous (voir Jn 4, 13-15 ; 7, 37-39). Ce genre d'inspiration ne se situe pas sur le même plan de l'être que l'inspi­ration dans les domaines artistique ou philosophique. Celle-ci - propre à notre nature déchue - peut aussi être comprise comme un don venant de Dieu, mais elle ne conduit ni à l'union avec le Dieu personnel ni même à une connaissance intellectuelle à son sujet. L'inspiration véritablement sainte - celle qui vient d'En-haut et procède du Père - ne s'impose à personne par la force. Comme tout autre don de Dieu, elle s'acquiert par un intense effort dans la prière (voir Le 11,9-13). Cela ne veut pas dire que Dieu nous donnerait une sorte de «salaire» en récompense de nos labeurs, mais que ce qui a été acquis consciemment et dans les souffrances devient le bien imprescriptible de l'homme pour l'éternité. Nous avons tous besoin de passer par une complète régénération de notre être, accomplie en nous par la grâce, et de restaurer ainsi notre capacité à être déifiés. Tout cela cependant n'est possible que par notre retour à Lui, ce qui ne va pas sans de nombreux tourments. Dieu nous fuit vraiment don de sa vie; celle-ci devient, dans la pleine acception du terme, notre possession personnelle. Sa gloire éternelle repose sur ceux qu'Il a rachetés. Elle demeure en eux non pas comme quelque chose de surimposé à leur nature, non pas comme la présence en eux de quelque chose d'extrinsèque, d'« étranger» ou d'« injuste» (voir Le 16, 11-12). Non, la vraie déification consiste en cc que la vie sans commencement de Dieu se communique réellement à la créature raisonnable, d'une manière inaliénable dans les siècles. En d'autres termes, l'homme «en hypostasie» (assume dans son hypostase) la vie divine de la même manière que le Verbe, en s'incarnant, a «enhypostasié » la forme de notre être qu'Il a créée. L'union des hommes et de Dieu deviendra totale dans le siècle à venir. Elle englobera tout le contenu de son Être, sauf - évidemment - l'identité selon l'Essence. Celle-ci est incommunicable aux êtres créés; elle demeurera à tout jamais inconnaissable pour toutes les créatures, tant pour les anges que pour les hommes. Le Royaume du Père est l'unité ontologique de tous les êtres sauvés; il ne peut, comme tel, être ébranlé par rien ni par personne (voir Hb 12,27-28). L'inspiration d'En-haut dépend dans une large mesure de notre attitude: si nous ouvrons toute large la porte de notre cœur, le Seigneur - l'Esprit saint - entrera en nous sans rencontrer de résistance. Il « se tient à la porte [de notre cœur] et Il frappe. Si quelqu'un entend sa voix et lui Ouvre la porte, Il entrera chez lui, Il soupera avec lui», et lui avec Dieu (voir Ap 3, 20). Le Seigneur ménage la liberté de ceux qui sont créés «à son image ». Nous, nous devons savoir ce qui est accep­table pour Lui et ce qui ne l'est pas. D'où l'impérieuse nécessité pour tous et pour chacun de ne pas se permettre des actes, de ne pas se laisser aller à des mouvements intérieurs de notre esprit qui contristeraient l'Esprit divin. C'est par notre sincère persévérance dans la sphère des commandements du Christ que notre mort, conséquence du péché, entre peu à peu dans un processus de gué­rison totale; toute notre vie se trouve ainsi pénétrée de la Lumière incréée de l'éternité divine. Lorsque notre âme est touchée par cette éternité d'une manière existentielle, les viles passions se détachent de nous. Nous nous écartons des luttes Fratricides pour la possession des richesses de cc monde. Sur nous descend la «paix du Christ» et nous recevons la force d'«aimer les ennemis». «Je vous donne ma paix» (J n 14, 27). La paix du Christ est plus précieuse que routes les richesses, que tous les plaisirs et toutes les joies de la terre. Elle consiste dans la connaissance assurée du Dieu vivant, de notre Père. Il nous suffit d'un peu de nourriture, d'avoir un toit au-dessus de notre tête, d'avoir le corps protégé du froid et de la honte (voir 1 Tm 6, 8); l'essentiel, c'est que l’intellect, notre esprit, soit libre de se plonger dans la contemplation de l'être divin révélé par le Christ. La nostalgie du monde supérieur, notre amoureux élan vers lui est notre joie. Elle rend même royalement magnifique une vieillesse douloureuse, car toute remplie de l'arrente des miséricordieux «embrassements du Père» (voir Le 15, 20).     Référence : Voir Dieu tel qu’Il Est. Archimandrite Sophrony. Sel de la terre. 2004.
        Πηγή: https://holytrinityfamily.blogspot.com/2023/04/intuition-saint-sophrony-lathonite.html
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        „Gehorcht denen, die euch führen...“
        Hl. Johannes Chrysostomos

        Zum Schriftwort:
        „Gehorcht denen, die euch führen...“ [1]

        „Gehorcht denen, die euch führen, und ordnet euch unter,
        denn sie halten Wache um  eurer Seelen willen,
        als solche, die Rechenschaft abzulegen haben werden.“

        Brief an die Hebräer, 13,17
         
        Das Übel von Führungslosigkeit und  Ungehorsam

        1. Führungslosigkeit [2] ist gewiß überall ein Übel und die Ursache vielen Unheils, der Anfang von Unordnung und Wirrsal, doch in der Kirche ist sie noch gefährlicher als anderswo, ist doch auch die Führung in der Kirche von einer größeren und höheren Ordnung. So wie der Chor aus der Melodie und aus dem Takt fällt, wenn du seinen Leiter entfernst,  wie die militärische Phalanx aufhört, die Schlachtordnung aufrechtzuerhalten, wenn du den Feldherrn beseitigst, und wie das Schiff versinkt, wenn du den Steuermann wegnimmst, so auch wirfst du alles um und gibst es der Zerstörung preis, wenn du den Hirten wegnimmst von der Herde.
        Von Übel ist mithin die Führungslosigkeit und Ursache des Zusammenbruchs, doch ein nicht geringeres Übel ist auch der Ungehorsam der Geführten,  läuft es doch auf dasselbe hinaus.  Denn ein Volk, das seinem Führer nicht gehorcht, ist wie ein Volk, das keinen Führer hat, vielleicht sogar noch schlimmer. Denn im ersteren Fall hat es eine Entschuldigung für die Unordnung, nicht so aber im letzteren, sondern es wird bestraft.

        Das noch größere Übel des schlechten Führers

        Nun wird uns vielleicht jemand sagen, dass es noch ein drittes Übel gibt, nämlich wenn der Führer schlecht ist. Auch ich weiß das, und es ist keineswegs ein geringes Unheil, sondern ein sogar noch weit schlimmeres als die Führungslosigkeit. Denn es ist besser, von niemandem geführt zu werden, als von einem schlechten Führer. Im ersteren Fall nämlich geschieht es oft, dass einer trotzdem gerettet wird, oftmals aber auch in Gefahr gerät, doch im zweiten Fall ist er unter allen Umständen in Gefahr, wird er doch in den Abgrund geführt. Wie nun kann Paulus sagen: „Gehorcht denen, die euch führen,  und ordnet euch unter“? Er sagt es, nachdem er zuvor [in bezug auf jene, die ihnen das Wort Gottes verkündeten] betont hat: „...deren Glauben ahmt nach, nachdem ihr den Ausgang ihres Lebens erwogen habt“ (Hebr 13,7-8). Danach mithin sagt er: „Gehorcht denen, die euch führen, und ordnet euch unter“ (Hebr 13,17). Was also – sagt er, dass wir ihnen nicht gehorchen sollen, wenn sie böse sind? Was ist unter „böse“ zu verstehen? Ist er es vom Gesichtspunkt des Glaubens, dann fliehe ihn und zieh dich zurück von ihm, nicht nur wenn er ein Mensch ist, sondern selbst, wenn es ein Engel ist, vom Himmel herabgekommen (s. Gal 1,8)! Ist er es aber in seinem Lebenswandel, dann  stochere nicht darin herum. Dies sage ich nicht von mir aus, sondern ich entnehme es der Heiligen Schrift. Hör zu, was Christus sagt: „Auf den Thron des Mose haben sich  die Schriftgelehrten und die Pharisäer gesetzt“. Nachdem Er zuvor viel Schlimmes gesagt hat über dieselben, sagt Er: „Auf den Thron des Mose haben sie sich gesetzt. Alles nun, was sie euch sagen, dass ihr tun sollt, das tut. Doch was sie selbst tun, das tut nicht“ (Mt 23,2-3). Damit will Er sagen, dass jene zwar die Amtswürde haben, doch ihr Lebenswandel ist unrein. Achtet daher nicht auf ihren Lebenswandel, sondern auf die Worte. Denn aus ihren verderbten Sitten erwächst keinem von euch Schaden. Warum nicht? Weil ja ihre Sitten klar zutage liegen für jedermann und weil der Verderbte selbst, wäre seine Verderbtheit auch tausendfältig, niemals das Verderbte lehren würde. Ist er aber verderbt in seinem Glauben, so liegt das nicht für jedermann klar zutage und der Verderbte schreckt nicht davor zurück, seinen verderbten Glauben auch zu lehren. Das „Richtet nicht, damit ihr nicht gerichtet werdet“ (Mt 7,1) bezieht sich auf den Lebenswandel, nicht auf den Glauben. Dies wird klar aus dem, was der Herr hinzufügt: „Was siehst du den Splitter im Auge deines Bruders, den Balken in deinem eigenen Auge aber siehst du nicht?“(Mt 7,3). „Alles nun“, sagt Er, „was sie euch sagen, dass ihr tun sollt, das tut“ – das Tun aber bezieht sich auf die Werke, nicht auf den Glauben – , „doch was sie selbst tun, das tut nicht“ (Mt 23,3). Siehst du, dass hier nicht von den Dogmen die Rede ist, sondern vom Lebenswandel und von Werken? Zuerst also festigt sie Paulus, und erst dann sagt er: „Gehorcht denen, die euch führen, und ordnet euch unter, denn sie halten Wache um eurer Seelen willen, als solche, die Rechenschaft abzulegen haben werden (Hebr 13,17).“

        Auch die Führenden sollen hören 2.Laßt auch die Führenden dies Wort  hören und nicht nur die Geführten, denn so wie die Geführten gehorsam sein sollen, so auch sollen die Führenden wachsam und besonnen sein. Was sagst du? Der Führende wacht, Gefahren hängen über seinem Haupt. Er unterliegt den Bestrafungen für deine Sünden, um deinetwillen ist er solchem Schrecken ausgesetzt, und du bist gleichgültig, unbekümmert und grobschlächtig und willst nicht gehorchen? Deshalb fügt der Apostel hinzu: „... damit sie dies mit Freuden tun und nicht mich Seufzen, denn dies ist nicht von Nutzen für euch“ (Hebr 13,17). Siehst du, dass der Führende sich nicht rächen soll, wenn man ihn mißachtet, sondern dass seine Verteidigung im Weinen und Seufzen liegt? Und das zu Recht, denn auch der Arzt, wenn er mißachtet wird vom Kranken, darf nicht nach Vergeltung trachten, sondern er weint und trauert. Wenn mithin der Führende seufzt, wird Gott ihm Recht verschaffen. Denn wenn wir schon dann, wenn wir für unsere eigenen Sünden seufzen, Gott zu uns ziehen, wird dies nicht noch viel mehr geschehen, wenn wir seufzen wegen der Uneinsichtigkeit und Mißachtung der anderen?  Begreifst du, dass Er nicht erlaubt, dass der Führende sich zu Schmähungen hinreißen läßt? Begreifst du, wie erhaben diese Philosophie ist? Seufzen soll der Mißachtete, der Niedergetretene und Angespuckte. Glaube nicht, dass Gott dir nicht Recht verschaffen wird. Denn Seufzen ist wirksamer als jede Vergeltung. Indem einer seufzt ob der Fruchtlosigkeit seiner Bemühungen, ruft er den Gebieter herbei. So wie der Lehrer und  Erzieher, wenn das Kind nicht gehorchen will, einen Strengeren herbeiruft, so geschieht es auch hier.

        Unbedachtes Streben nach führenden Positionen
        3.Wehe, wie groß ist die Gefahr für den Führenden! Was soll man jenen Unglücklichen sagen, die sich in einen solchen Abgrund von Bestrafungen stürzen? Denn du wirst Rechenschaft abzulegen haben für alle, die du führst, Frauen, Männer und Kinder. Solche Glutkohlen sammelst du auf dein Haupt! Ich frage mich, ob irgendeiner der Führenden je gerettet werden wird, und wundere mich, dass es bei dieser Bedrohung und bei der vorherrschenden Nachlässigkeit noch solche gibt, die herbeieilen und sich in diese so große Beschwernis der Führerschaft werfen. Denn wenn schon jene, die man genötigt hat, Führungspositionen anzunehmen, keinerlei Entschuldigung und Rechtfertigung  haben, wenn sie ihre Aufgaben schlecht und nachlässig versehen – auch Aaron wurde genötigt und geriet in Gefahr und selbst Moses war gefährdet, obwohl er oftmals um Befreiung von der Last ersucht hatte, und Saulus für seinen Teil, dem eine andere Art von Führerschaft anvertraut worden war,  geriet in Gefahr, weil er sie schlecht versah –, wieviel weniger noch diejenigen, die solchen Positionen nachjagen und sich von selbst hineinwerfen! Denn ein solcher beraubt sich jeder Entschuldigung. Daher ist es nötig, zu fürchten und zu zittern, sowohl des Gewissens wegen als auch wegen der schweren Last der Macht, und weder darf man, wenn einmal dazu genötigt, sich derselben entziehen, noch auch soll man sich von selbst darein stürzen, wenn man nicht dazu genötigt wird, sondern sie im Gegenteil fliehen, im Bedenken der Größe der Verantwortung. Nehmen wir sie aber an, müssen wir ihr alle Ehrfurcht erweisen. Nichts geschehe, was hinausgeht über das Maß, alles geschehe vielmehr der Ordnung gemäß. Hast du ein Vorgefühl [dass man dich nötigen will],  mach dich auf und fliehe, nachdem du dich überzeugt hast, dass du der Sache unwürdig bist. Wirst du aber ergriffen, sei gleicherweise ehrfürchtig, indem du überall deine Dankbarkeit zeigst. 

        Quelle: www.prodromos-verlag.de


        [1] Der vorliegende Text stammt aus Homilie 34 zum Hebräerbrief  des hl. Johannes Chrysostomos,  Erzbischof
           von Konstantinopel (344-407, s. Das Synaxarion am 13. November). Griech. Urtext in EPEJohChrys Band 25.
           Dt. Übersetzung vom Kloster des Hl. Johannes des Vorläufers, Chania 2011.
        [2] Griech. „ἀναρχία“. In seiner griechischen Urform hat das Wort noch nicht die Bedeutung des heutigen Begriffs 
           der Anarchie, das heißt von „Chaos“.  

         http://www.impantokratoros.gr/jochannes-chrysostomos-gehorcht.de.aspx
        Πηγή: https://hristospanagia3.blogspot.com/2013/08/gehorcht-denen-die-euch-fuhren.html
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        COMME UN ENFANT



        "Avec la prière [de Jésus], l'homme devient comme un enfant. Cela le ramène à la simplicité et à l'innocence qu'Adam avait au Paradis avant la chute. Avec la Prière, on acquiert une impartialité bénie et sainte. Par la Prière, vous sanctifiez l'endroit où vous êtes assis et le travail que vous faites. La prière arrange toutes choses. Elle vous permet de marcher sur l'eau. Elle élimine les distances entre vous et les autres. Cela change la volonté des autres. Cela donne du courage, de la foi et de la patience dans la vie." 
         Saint Amphiloque (Makris)
        Πηγή: https://priere-orthodoxe.blogspot.com/2024/09/comme-un-enfant.html
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        The Lost Strength of Fasting | St. Sophrony’s Reflections on Great Lent

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